En juin 2018 donc, Watt’s Next publiait une analyse qui se révèle aujourd’hui très pertinente intitulée :  » Transformation des énergéticiens : la valse des actifs « .

Comme nous l’indique @DamienHeddebaut sur Twitter, pour la France, c’est parti !

Le magnat Tchèque Daniel Křetínský, par ailleurs actionnaire du quotidien Le Monde et de beaucoup d’autres titres de presse, doit faire l’acquisition des centrales électriques au charbon auprès d’UNIPER (issue de la scission du Groupe E-On).

Le groupe TOTAL doit acquérir des centrales en cycle combiné gaz et récupère également des moyens de production issus de l’acquisition de Direct Energie.

Il y a eu également le plan de session majeur d’Engie qui aurait même tenté de revendre à EDF sont parc électro-nucléaire Belge.

Et puis il y a EDF qui a redonné vie à Framatome mais plus comme un fournisseur et bien comme une filiale. En plus, EDF doit donner des réponses pour le premier semestre 2019 au gouvernement sur les scénarios d’évolutions souhaitables et possibles pour l’entreprise. On entend surtout la nécessité de « sanctuariser » le pnuléaire!;

A ce sujet, revenons sur les analyses et suggestions de Jacques Percebois qui démontre à ses lecteurs que le status quo n’est ni la seule voie ni forcément la meilleure.

Il devient de plus en plus clair que le panorama du système énergétique évolue à grande vitesse et que tous les grands acteurs s’engagent dans un mouvement d’adaptation permanente et que le point de non retour (comme le qualifie les montagnards) a été atteint.

La CFDT apportera sa contribution à ces réflexions sur le jeu des acteurs, comme elle l’a fait dans le cadre de la PPE.