Les Pays Bas ont déjà un record à leur actif celui du plus grand parc éolien offshore du monde avec 150 éoliennes d’une capacité unitaire de 4 MW de puissance. Le projet envisage une production de 2,6 TWh soit un taux de disponibilité de presque 50% [autant mettre un tel parc là où il y a du vent … notons que l’on installe par endroit du photovoltaïque là où il y a peu de soleil].
Les Pays Bas ne comptent pas en rester là et veulent emboiter le pas de la Chine en développant des parcs photovoltaïques offshores eux aussi, en Mer du Nord à côté du parc éolien cité ici. S’agissant de la Chine, il s’agit d’un parc offshore mais sur un lac artificiel et donc pas en mer, ce qui n’est pas sans difficultés supplémentaires pour les Pays Bas.
L’idée est ici de foisonner les sources d’énergie pour améliorer la prévisibilité de l’énergie produite.
On ne connait pas encore les conséquences de ce type d’installation sur les écosystèmes marins mais l’intention est clairement positive dans le souci de limiter les émissions de gaz à effet de serre tout en visant des rendements significatifs de ces nouvelles sources d’électricité.