La COP 21 a eu un effet certain auprès des citoyens du monde et des dirigeants pour préserver la planète.
Elle a aussi sans doute donné au président français E. Macron une responsabilité supplémentaire qui l’a notamment amené à prendre la parole lors de la COP 23 en Allemagne.
Il a, et nous soutenons pleinement cette approche, dit que notre première ambition, notre obligation, est de baisser les émissions de gaz à effet. Nous avons malheureusement appris par le manifeste des 15 000 scientifiques qu’elles étaient reparties à la hausse.
Il a précisé son propos en expliquant que devoir fermer des centrales nucléaires maintenant nous condamnerai à rouvrir des centrales au gaz ou au charbon.
Dans le même temps, des associations ont accusé le président d’être manipulé par des lobbying… Pour notre part, nous préférons retenir les propositions de Nicolas Hulot qui veut accélérer la transition énergétique avec :
- le développement des interconnexions (pour développer le foisonnement des énergies renouvelables)
- un prix plancher du C02 à 30€/tonne
- le développement du stockage de l’énergie
- la mise en place de critères environnementaux dans les politiques commerciales
Une information que nous souhaitons souligner par rapport à tous ces discours, la COP 24 sera organisée l’année prochaine en Pologne, pays membre de l’union européenne qui n’a pas ratifié les accords de Kyoto sur la période 2013-2020… Pas très « clean ».