Nouvel épisode du feuilleton « Le nucléaire en France ».

On a souvent évoqué la politique industrielle (ou son absence) de la France sur la filière nucléaire.

Très récemment encore, nous évoquions cette forme de « vue de l’esprit » qui consistait à fermer presque 2 réacteurs par an jusqu’en 2015 avec cette question toute simple : comment faire ?

Nicolas Hulot vient d’y répondre pour partie avec un pragmatisme et un sens des réalités que nous saluons – ce qui vaut pour un salarié vaut pour un ministre : A l’impossible, nul n’est tenu.

Cette conclusion de Nicolas Hulot et de ses équipes s’appuie sur le remarquable travail de RTE sur les scénarios envisageable de politiques énergétiques nationales. Nous considérons que cette étude est la plus crédible pour définir une politique énergétique sérieuse et en ligne avec l’objectif d’une production d’électricité bas carbone.

Ce que l’on peut retenir, dans les très grandes lignes, des travaux de RTE et des enseignements qu’en tire le ministre, c’est que les réacteurs en fonctionnement aujourd’hui vont voir leur durée de vie allongée.

L’autre conclusion est que ni RTE ni le ministre n’évoque la construction d’un autre EPR que Flamanville 3.

 

 

 

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