Alors qu’Engie vient d’engager la vente de ses 40 % dans la société NuGen qu’elle a en commun avec Toshiba, le débat sur la fermeture de Fessenheim est à son paroxysme.
La stratégie d’Engie sur le nucléaire qui avait une dimension internationale avec les marchés Anglais et Turc est donc clairement réinterrogée.
Isabelle Kocher qui a engagé Engie dans une démarche qui rappelle celle d’Eon avec un volontarisme assumé sur le développement des énergies renouvelables est donc en train de redéfinir ses orientations stratégiques sur le nucléaire.
Attendons la décision du gouvernement et du conseil d’administration d’EDF sur Fessenheim pour avoir une idée des choix stratégiques des uns et des autres, gouvernement français compris qui est actionnaire à hauteur de 30 % environ d’Engie.